Fréquences : une façon de soulager et traiter des pathologies avec des fichiers audios à écouter
Spiritualité : 13 octobre 2023
La thérapie par le son est une pratique millénaire, qui connaît un véritable regain d’intérêt dans la communauté spirituelle. Elle repose sur l’utilisation de vibrations sonores pour favoriser la guérison, l’équilibre émotionnel, la relaxation ou encore la connexion à l’univers et l’éveil de l’intuition.
La thérapie par le son est une thérapie indolore, qui ne demande pas ou peu d’efforts, et qui est généralement peu coûteuse. Ça parait presque trop beau pour être vrai, n’est-ce pas ? Et pourtant…
Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de la thérapie par le son, en explorant ses origines, ses bienfaits et les différentes méthodes utilisées.
Quelles sont les origines de la thérapie par le son.
La thérapie par le son trouve ses racines dans les anciennes civilisations, notamment en Inde, en Égypte, ou encore en Grèce.
Les Hindous utilisaient des mantras et des instruments tels que le tambour, la flûte et le gong dans leurs pratiques méditatives.
En Égypte, des hiéroglyphes ont été découverts, représentant des instruments de musique utilisés dans des cérémonies de guérison.
Les Grecs antiques, quant à eux, accordaient une grande importance à la musique pour apaiser l’esprit et le corps.
Les tibétains, eux, utilisent toujours les bols et les gongs avant et après leurs pratiques méditatives.
Les chamanes, qu’ils soient amérindiens, amazoniens, mongols, etc, utilisent tous le tambour dans leurs cérémonies.
En feng-shui, cette pratique chinoise basée sur les énergies de notre environnement, on parle aussi du son dans l’harmonisation de son habitat. En effet, d’après le feng-shui, placer des carillons à l’entrée d’une maison brise l’énergie négative avant qu’elle n’entre dans votre maison.
En bref, la thérapie par le son est utilisée depuis des millénaires, dans bon nombre de philosophies, de cultures, et de pays.
Voir la suite dans la partie " Fréquences " où vous trouverez des fichiers audios par pathologie ...
Cancer : un nouvel espoir par le Dr Schwartz
Publié le 14 mars 2018 dans Evènementiels, Santé
Le docteur Laurent Schwartz a rassemblé près de 600 personnes à sa conférence, dimanche après-midi, au Cap, à Saint-Amarin. La seconde en ce lieu, puisqu’il était déjà venu parler d’un premier protocole contre le cancer en février 2017. Cette fois-ci, le scientifique a présenté une nouvelle molécule, le dioxyde de chlore, qui donne des résultats « prometteurs ».
Espoir. S’il est un mot qui peut résumer la conférence qui s’est tenue dimanche après-midi au Cap, à Saint-Amarin, proposée par l’association Thur Écologie et Transports (TET) et animée par le Dr Laurent Schwartz, cancérologue de l’Assistance publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP), c’est bien celui-ci. L’espoir, mais sans fausses promesses ni poudre aux yeux.
Un sujet sensible
Daniel Walter, le président de TET, a accueilli l’assemblée en rappelant, notamment, combien le sujet du cancer est sensible. « L’histoire de la lutte contre le cancer est malheureusement jalonnée de sombres batailles qui ont étouffé bien des découvertes faites par des inventeurs géniaux […]. Leurs messages bousculent les idées reçues ou les dogmes… » Sans pour autant adhérer à la théorie du complot, Daniel Walter a souligné « les immenses intérêts financiers en jeu. 1000 milliards de dollars à l’échelle mondiale consacrés à la lutte et aux soins contre le cancer… Est-il sain qu’un ministre de la Santé ait des liens, y compris financiers, avec l’industrie pharmaceutique (Ndlr : Roselyne Bachelot, notamment, a été déléguée médicale du laboratoire Astra Zeneca entre 1969 et 1976, puis chargée des relations publiques de Soguipharm, une autre institution pharmaceutique) ?» « Le docteur Schwartz sera-t-il lui aussi victime d’ostracisme ? Espérons que l’année prochaine, nous organiserons une 3e conférence qui s’intitulera “Victoire, nous avons vaincu le cancer !”», a-t-il lancé à l’assistance avant de passer la parole à l’intéressé.
Le médecin a d’emblée annoncé que son protocole de recherche a été présenté, durant la semaine précédant la conférence, à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Dans un langage qu’il a tenté de vulgariser au maximum, ajoutant, prudemment, force guillemets aux guillemets, il a commencé son exposé en rappelant le socle de sa théorie, à savoir : « Le cancer est une maladie simple, issue de la fermentation du sucre. Ce qu’Otto Warburg avait déjà montré en 1930 et que l’on appelle par conséquent « l’effet Warburg ».
Des premiers effets visibles au bout de deux à trois semaines
« Comment lever l’effet Warburg ? », a interrogé le docteur. Selon lui, le régime cétogène qui diminue l’apport de sucre et la prise de deux substances – l’acide alpha-lipoïque et l’hydroxycitrate – y contribuent fortement. « Des centaines de publications vont dans le même sens », a-t-il affirmé.
Laurent Schwartz a brièvement abordé l’effet Warburg de la chimiothérapie, « toxique, peu efficace, qui donne seulement 15 % de réponse dans le cancer du pancréas, par exemple ». Tout en reconnaissant qu’avec ses limites, elle aide malgré tout de nombreux malades et qu’il n’est pas contre les méthodes approuvées par le corps institutionnel. « Malgré tout, les malades confrontés à l’échec du traitement conventionnel ont tout intérêt à essayer notre protocole», a-t-il précisé avant d’ajouter: « Non, l’an dernier, nous n’avions pas fumé la moquette. De plus en plus d’études affirment nos dires. Le tableau se met progressivement en place et se confirme (lire nos précédentes éditions)», s’est réjoui le chercheur.
La nouveauté, cette année, Laurent Schwartz l’a présentée telle la cerise sur le gâteau, gardant le meilleur pour la fin. « Ce n’est pas mon invention. J’ai découvert cette molécule il y a deux ans, grâce à l’un de mes patients atteint d’un cancer du pancréas. Lorsqu’il a parlé de ma méthode à ses oncologues, il s’est heurté à leur refus d’en entendre plus. Il a alors décidé de se soigner seul et a cumulé le régime cétogène, la prise d’acide alphalipoïque et l’hydroxycitrate. À cela, il a ajouté du dioxyde de chlore, à un dosage très précis. » Son témoignage peut être lu via le lien suivant :
Le médecin a d’emblée annoncé que son protocole de recherche a été présenté, durant la semaine précédant la conférence, à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Dans un langage qu’il a tenté de vulgariser au maximum, ajoutant, prudemment, force guillemets aux guillemets, il a commencé son exposé en rappelant le socle de sa théorie, à savoir : « Le cancer est une maladie simple, issue de la fermentation du sucre. Ce qu’Otto Warburg avait déjà montré en 1930 et que l’on appelle par conséquent « l’effet Warburg ».
Le médecin a d’emblée annoncé que son protocole de recherche a été présenté, durant la semaine précédant la conférence, à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Dans un langage qu’il a tenté de vulgariser au maximum, ajoutant, prudemment, force guillemets aux guillemets, il a commencé son exposé en rappelant le socle de sa théorie, à savoir : « Le cancer est une maladie simple, issue de la fermentation du sucre. Ce qu’Otto Warburg avait déjà montré en 1930 et que l’on appelle par conséquent « l’effet Warburg ».
http://guerir-du-cancer.fr/temoignage-de-norbert-fischmann-cancer-du-pancreas/
«Aujourd’hui, Norbert va bien. Au départ, le pronostic de son cancer lui laissait entre trois et six mois d’espérance de vie. Cela fait 17 mois de recul », ajoute Laurent Schwartz.
« Ce n’est pas une donnée ésotérique »
«Ce n’est pas une donnée ésotérique, il existe quelque chose de nouveau, de simple, qui remplace ou supplée la chimiothérapie et permet de traiter tous les cancers à court ou moyen terme. Une porte s’ouvre. Nous avons fait notre part en tant que chercheurs. C’est maintenant aux malades et à la société civile de se bouger », a conclu Laurent Schwartz avant de laisser la parole à Francis Taulelle et Ghislain Hufschmitt, venus témoigner au sujet de la « mise sous contrôle de leur cancer ». Nous y reviendrons dans une prochaine édition.
Questions du public
À l’issue de la conférence et des témoignages, quelques questions ont pu être posées au cancérologue Laurent Schwartz.
« Comment être suivi en l’absence de médecins ouverts à votre protocole ? », a interrogé un jeune homme.
Laurent Schwartz a honnêtement reconnu que lui et son équipe n’ont ni les moyens, ni la capacité de suivre tout le monde. « Il faut que chacun se prenne en main, demande de l’aide à son médecin traitant. Surtout pour un suivi des marqueurs. Les premiers résultats sont rapides et visibles en trois semaines, voire 15 jours. Profitez du partage d’expérience, via internet. »
« Vous avez présenté votre protocole à l’ANSM, à quand les réponses ? », a demandé une femme.
Dans un éclat de rire ironique, Laurent Schwartz a rappelé les cinq procès qui lui ont été intentés (et qu’il a gagnés) et le sixième, en cours.
Un mari, lui, a demandé si sa femme, souffrant du cancer des ovaires, pouvait cumuler le protocole Schwartz avec le traitement Beljanski.
« C’est possible », a répondu le médecin.
Enfin, un jeune homme a pris la parole, rapportant des travaux effectués par deux chercheurs de l’Université de Washington et montrant l’effet du cumul de l’artémisinine et du chlorure ferreux. « L’étude montre qu’on dépasse les 90 % d’effondrement de la tumeur. »
Francis Taulelle, directeur de recherche à l’Institut Lavoisier, à Versailles, a acquiescé quant à cet intéressant constat, mais a rappelé que le débat reste ouvert. « Il s’agit de travaux de recherche. Nous n’en sommes pas au stade du consensus. »
Créer un site internet ? Moi ? Cela, il y a des années, m’aurait énervé quelque chose d’impossible.
Alors pourquoi je l’ai créé ? Pourquoi consacrer une bonne partie de mon temps à la recherche afin de mieux comprendre la santé et la maladie ?
Je pense que la raison la plus importante est que je veux me sentir bien dans ma peau.
J’aimerais quitter ce monde, le plus tard possible, en sachant que j’ai laissé, à qui veut l’entendre, quelque chose en quoi je crois vraiment. Pour l’instant, je suis sur la route. Et le CDS en est un bon exemple.
J'ai créé ce site afin de vous donner les explications pour une utilisation sécurisée des différents produits.
Les produits sont :
CDS - DMSO - Térébenthine
La loi est la loi. Et tant que nous ne la changeons pas, nous devons la remplir ou être prêts à nous en tenir aux conséquences. Et c’est pourquoi je dis ceci :
Ce site n’a pas pour but d’encourager les lecteurs à traiter leurs maux et pathologies avec MMS ou CDS. Ce site est un texte de nature purement d’informations.
Si vous souffrez d’une maladie ou d’une maladie grave ou légère, vous devez toujours faire appel à un professionnel de la santé qualifié et légalement agréé.